« Ma photographie n’est pas une « photographie cérébrale ». Je laisse mon cerveau sous l’oreiller quand je tourne. Je tourne avec mon cœur et avec mes tripes. Et ensuite – cela est très important pour moi – mes photographies sont intuitives. C’est là qu’elle va et non là d’où elle vient (des tripes vers la tête). Quand je planifie un projet, alors je réfléchis – et lorsque je développe le film et regarde les diapositives, alors je pense, je corrige et je fais des choix – avec une grande, grande attention, et c’est là que la responsabilité entre en jeu. » Anders Petersen (Dix choses qu’Anders Petersen peut vous apprendre, Blog de photographie d’Éric Kim)